Translation and commentary : Ma vie, mon Cri (Rachida Yacoubi)
dc.contributor.advisor | Everson, Vanessa Marguerite. | |
dc.contributor.advisor | Beckett, Carole Marie. | |
dc.contributor.author | Peel, Heather Lynette. | |
dc.date.accessioned | 2011-10-31T10:01:14Z | |
dc.date.available | 2011-10-31T10:01:14Z | |
dc.date.created | 2003 | |
dc.date.issued | 2003 | |
dc.description | Thesis (M.A.)-University of Natal, Pietermaritzburg, 2003. | en |
dc.description.abstract | Ce memoire est avant tout un travail de traduction. Le livre a traduire, Ma Vie, mon Cri de Rachida Yacoubi, est tres long (355 pages). 11 fallut beaucoup de travail, de revision et de discussion avec mes deux directrices pour finir la traduction. Je suis tres reconnaissante de leurs conseils et je tiens vivement a remercier Vanessa Everson et Carole Beckett. J'appris davantage en discutant certains problemes precis et epineux avec elles, qu'en etudiant la theorie de la traduction. Cette tache nous a meme diverti puisque la traduction est souvent comme un jeu stimulant si on se passionne pour les mots et I'expression exacte! En depit des difficultes associees a un changement de directrice, je profitai de deux points de vue, parfois differents, mais toujours interessants et enrichissants. L'aspect pratique de mon memoire fut renforce par les cours sur la theorie de la traduction (Translation 810, anime par le Professeur D.Z. van den Berg). L'activite de traduction est un art plutot qu'une science dans le sens que la traductrice est obligee de se servir de ses connaissances linguistiques (mesurables et ainsi scientifiques), mais surtout de son imagination afin de trouver le mot / la phrase juste pour recreer, pour ne pas dire reinventer, I'atmosphere et les emotions transmises par un autre1 . La traduction parfaite n'existe pas. C'est pourquoi j'ai employe le verbe «finir» au lieu de « perfectionner ». En effet, ce n'est peut-etre pas vraiment possible de « finir » une traduction, mais en fin de compte, la question du temps disponible s'impose. 11 me semble que Newmark exprime bien mon dilemme : « You can compare the translating activity to an iceberg: the tip is the translation - what is visible, what is written on the page - the iceberg, the activity, is all the work you do, often ten times as much again, much of which you do not even use. »2 En ce qui concerne ce memoire, c'est la qualite de la traduction meme de Ma Vie, mon Cri qui est donc d'une importance primordiale. D'oll, pour juger cette traduction, il est imperatif de se reterer au texte original.3 Dans I'introduction je peins le contexte general de Ma Vie, mon Cri et dans le commentaire j'expose 2 mon approche et mes raisonnements en tant que traductrice. Vu que j'etudiai la theorie de la traduction en anglais, et que la langue cible de la traduction est I'anglais, le commentaire est aussi en anglais. | en |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/10413/3965 | |
dc.language.iso | fr | en |
dc.subject | Moroccan literature (French)--Translations into English. | en |
dc.subject | French literature--Translations into English. | en |
dc.subject | Women authors--Morocco--Translations into English. | en |
dc.subject | Yakoubi, Rachida. Ma Vie, Mon Crie. | en |
dc.subject | Translating and interpreting. | en |
dc.subject | Yakoubi, Rachida--Translations into English. | en |
dc.subject | Theses--French. | en |
dc.title | Translation and commentary : Ma vie, mon Cri (Rachida Yacoubi) | en |
dc.type | Thesis | en |